1-. Valeurs des Fans et Followers
Des études essaient de valoriser les Fans ou followers. Exemple d’attribution d’une valeur à un Fan de 136,38$ (quelle précision !!)
La valeur d’un Fan/Follower est difficilement quantifiable. Un Fan peut être un acheteur de la marque et dans ce cas, il est relativement facile de déterminer une estimation de son apport. Bien sur, après avoir déterminé si le Fan/Follower est client, il faut idéalement poussé l’analyse afin d’avoir des données sur le montants moyen des achats et la fréquence.
Un Fan/Follower peut aussi être un relai ou un avocat pour la marque. Cet aspect est plus difficilement mesurable. Dans quelle mesure et combien de personne le Fan/Follower va-t-il influencer ? Vous avez bien sur des indicateurs ou des outils qui vous permettent de mesurer l’influence. Cela permet d’avoir un aperçu de l’influence estimée de vos Fans/Followers mais, cela ne dit rien sur l’impact de cette influence pour votre entreprise.
2-. Propension d’un fan à acheter
Une étude d’Exact Taget donne une information sur la propension à acheter une marque après en être devenu Fan.
17 %, seulement 17 % des fans seraient plus enclin à acheter la marque. C’est assez peu. Est-ce dû à un manque d’engagement des marques… à la banalisation du fait de devenir Fan… Il faudrait une autre étude sur les motivations pour y répondre.
Pour beaucoup d’entreprise, ce chiffre montre qu’il reste du travail à effectuer pour atteindre un des éléments primordial à leur retour sur investissement, le conversion !!
3-. Propension d’un follower à acheter
Les chiffres pour Twitter sont meilleurs que pour Facebook.De mémoire les chiffres d’une étude précédente étaient plus favorable mais il est parfois difficile de pouvoir comparer deux études (univers, méthode échantillonnage, rédaction questionnaire,…). Il est donc ici plus intéressant de s’arrêter à la comparaison entre Twitter et Facebook.
4-. Twitter Vs Facebook
La valeur d’un Followers, sur base de ces informations, serait donc plus grande que celle d’un Fan. Très souvent, trop souvent, les entreprises négligent Twitter ou sont maladroites dans son usage. Ces chiffres devraient les inciter à ne pas consacrer l’entièreté de leur énergie sur Facebook.